Fleur de cerisier

Fleur de cerisier

[23 Novembre] Culturez vous !

Bien le bonsoir mes petites fleurs !

 

Encore une journée de finie (en même temps, c'est logique). Elle n'a pas été très interressnte, mais je vous en fais quand même part. Je me lève à 7 heures du mat (catastrophe, une heure plus tard que d'habitude). La raison d ce retard : j'avais oublié de mettre le réveil. Du coup, c'est encore endormie que je me lève et prend ma douche. Mais rien y fait, je suis toujours dans un état comateux. 

 

Vers 8 heures et demi, je commence à travailler ma 3D. J'ai finiollé mon robot (qui n'est pas du tout parfait, mais il faudra s'en contenter) puis je me suis attaquée au zombi. Et là, j'ai eu une révélation, comme si Dieu m'avais envoyé la lumière (je précise que je ne suis pas croyante, pour vous montrer à quel point j'ai été illuminée). J'ai retrouvé, après quelques semaines de mou, l'envie et le plaisir de modeler. Le problème, c'est que maintenant, je suis un peu en retard (dans mon avance) pour tous les rendus de la semaine. Mais je n'y peux rien, je n'avais plus le goût à rien.

 

13 heures et je suis toujours devant l'ordinateur. Ma mère rentre à 14 heures et me trouve encore sur cette machine infernale, les yeux injectés de sang. Elle me propose de m'arrêter. Ce n'est pas de refus, surtout que je n'ai pas pris le temps de manger (horreur et damnation, moi qui ai toujours un vide à remplir). Et là, idée saugrenue, j'ai envie d'une belle omellette avec lardons, pattes, patates et gruyère. Mais le temps nous est compté, il faut que nous soyons au théâtre pour 16 heures. Je mange donc rapidement une toute petite omelette lardons gruyère. 

 

Nous arrivons au théâtre vers 15 heures 30, la salle est presque vide. Nous sommes installé au bon endroit, ni trop loin, ni trop près, et au centre de la rangée. Que demander de plus. La pièce que nous voyons est 6 personnages en quête d'auteur. A la fin de la représentation, je suis aux anges. J'ai tout adoré : la pièce en elle-même, le jeu des acteurs, les décors, les costumes, les lumières ... Ca m'a rappellée nos répétitions de théâtre avec Didier. L'histoire est assez simple : des coédiens répètent une pièce de piètre qualité. Là arrive six personnages qui recherchent un auteur. Ils ont été créés par un homme, mais celui-ci a refusé de leur donner une histoire. Ils (le Père, la Mère, la Belle-Fille, le Fils, le petit, la petite) vont alors raconter leur histoire. Ils sont d'abord pris pour des fous, mais le directeur accepte finalement de jouer leur vie. Se déroulent sur scène des évènement qui se sont passé dans la vie de ces personnages (interprétés par les acteurs) et des choses bien réelles comme la mort du petit garçon, le désespoir de la mère, la haine du fils envers les autres, ... 

 

Arrivée à l'appartement, il est l'heure de manger. Je propose de regarder un film pendant le repas. Je choisi le biopic de Yves Saint-Laurent. Je n'aurai peut-être pas du car il a quand même eu une vie assez difficile malgré son succès. C'était un artistre, un grand créateur qui avait peur des autres, qui voulait consacrer sa vie à ses dessins, et que le reste ne l'intéressait pas, il laissait le soin à son compagnon (Pierre Berger) de s'en occuper. C'est ce dernier qui à permis à la maison Yves Saint-Laurent de naître et de grandir. Mais Yves ne voyait rien. Il s'es mis à sombrer peu à peu dans la drogue, facile d'accès. Cela l'a dégradé à petit feu. Et il est mort, certes en ayant un nom, mais dans le malheur le plus grand, même si pour Pierre, il était tout.

 

Puis, après ces deux séquences émotions, il a fallu se coucher. Je vous dis donc au revoir et à demain dans un autre article.



23/11/2014
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